Les jours fériés ordinaires sont ceux énumérés par les dispositions légales et règlementaires de droit commun.
Les jours fériés ordinaires travaillés sont prévus dans le contrat de travail écrit.
À défaut, le travail d’un jour férié ordinaire ne peut intervenir que d’un commun accord écrit entre les parties.
En contrepartie du travail d’un jour férié ordinaire, vous percevez, au titre des heures effectuées, une rémunération majorée à hauteur de 10% du salaire dû.
Le chômage d’un jour férié ordinaire tombant un jour habituellement travaillé, ouvre droit au maintien de la rémunération brute habituelle, si vous avez travaillé pour votre particulier employeur, le dernier jour de travail qui précède le jour férié et le premier jour de travail qui lui fait suite, sauf autorisation d’absence préalablement accordée.
Au sens des présentes dispositions, est entendu par « jour de travail » le jour qui aurait dû être travaillé selon le contrat de travail ou le planning de travail qui vous a été remis par votre particulier employeur.
Votre absence, en raison du chômage des jours fériés ordinaires est assimilée à du temps de travail effectif pour la détermination de vos droits à congés payés et au titre de l’ancienneté.